Je vois une analogie criante entre deux phénomènes récents de nos sociétés occidentales, qui semblent n'avoir entre eux aucun lien. Est-ce de ma part un délire d'interprétation ? Je vais tenter de montrer que non.
En 2008, les banques s'effondrent pour excès de cupidité, après avoir distribué des prêts à taux variables à des ménages insolvables. Les États, c'est à dire le travail salarié des citoyens, remboursent les banques.
En 2024, la densité de population s'effondre par excès de mortalité et chute de la natalité, après avoir reçu des injections expérimentales d'entreprises dites "pharmaceutiques". Il y aura des procès – Pfizer est un habitué des prétoires... – les états paieront.
"Quel rapport" me direz-vous ?
Le scénario. En tout point identique.
Lorsque les banques américaines commencent à distribuer des produit dérivés, mélangeant créances solides et dettes abyssales, à des gens proches de la pauvreté, les Agences de notation, la SEC, la Banque fédérale, le Gouvernement oublient toute prudence et laissent faire : sur le papier, les profits vont exploser !
Les Agences de notation, supposées vérifier la crédibilité des sociétés financières et de leurs produits, valident allègrement de la meilleure note "AAA+" des actifs qui se révèleront pourris. Pour ne pas gripper un mouvement haussier phénoménal. Pour ne pas effrayer les investisseurs. Et sans doute aussi un peu par corruption.
Lorsqu'un virus inconnu se répand en Chine – très contagieux, mais uniquement grave pour les personnes âgées déjà très malades – les gouvernements oublient TOUTES les préconisations, pourtant récentes, des agences de santé et appliquent des politiques absurdes, contradictoires, inefficaces et dangereuses : refus de soigner (?), refus de tester (??), confinement mélangeant les contaminés avec les bien-portants (!), interdiction puis obligation du masque chirurgical (!?), fermetures de certains commerces, de certains rayons de supermarchés (!!), "auto-attestations de sortie", "plages dynamiques", "café debout" et autres inepties n'ayant rien à envier à Alfred Jarry, Franz Kafka ou Eugène Ionesco.
Le Subprime s'appellera "vaccin". Il nous sauvera d'une mort certaine. La sécu paiera. Les profits exploseront !
Les Agences de santé, l'Académie, les médias soudain, exultent : "le vaccin est sûr et efficace !" La science vaincra la maladie "quoi qu'il en coûte" ! Tous confiants dans les absurdités gouvernementales ; dans les dépliants publicitaires des labos pharmaceutiques ; dans le "consensus" des "experts". Et sans doute aussi un peu par corruption...
Jusqu'au dernier jour avant le krach bancaire et l'effondrement du marché immobilier, les dirigeants politiques, les institutions financières, les "experts" déclareront leur confiance dans la solidité des banques, prétendront que "l'économie est solide" ! Et personne n'ira en prison.
Jusqu'au dernier jour avant l'évidence internationalement reconnue de l'arnaque "Covid", les gouvernants mentiront, traitant d'anti-science et de conspirationnistes les lanceurs d'alerte.
Tout ce qu'avaient annoncé les réticents (péjorativement appelés "antivax" ou "complotistes") est désormais avéré : les effets secondaires et les décès en cascade dus à l'ARNm ; l'origine artificielle du virus ; la corruption des "experts" ; l'absence totale de recul scientifique sur ce pseudo-vaccin ; la collusion des media censurant les chiffres de surmortalité, de fausses-couches, de morts subites ; la complicité de l'Académie des Sciences niant a priori tout lien de causalité sans avoir diligenté la moindre étude épidémiologique (!)...
Aucune des institutions chargées de protéger les citoyens – de la faillite ou de la maladie – n'a fait son travail ! Au contraire, elles ont conforté des mensonges.
Toutes ont succombé au chant conformiste des sirènes : "le profit, le profit, le profit"... Toutes ont menti par corporatisme de classe : "L'Opulence est notre patrie commune !" Par volonté de conquérir ou de conserver des privilèges. Par terreur de voir une once de pouvoir leur échapper ( qui voterait pour des gens qui se sont constamment trompés et ont trompé les électeurs ? ), et finalement par peur de voir monde réel tel qu'il est : injuste, dangereux, incertain.
Les Opulents se complaisent dans un monde factice, illusoire. Mais ce sont les citoyens, toujours, qui paient pour leur éviter la souffrance du réel ; parfois de leur vie.
Il est temps d'en finir avec les illusionnistes.